Soul Artistes-Event

Publié le par bata002

La musique soul
(en anglais, soul music qui signifie « musique de l'âme »), ou, plus simplement, la soul, est une musique populaire afro-américaine née à la fin des années 1950 et dérivée, entre autres, du gospel et du blues mais aussi du jazz et du rhythm and blues (R'n'B). Elle est considérée par certains comme un retour du rhythm and blues aux racines dont il est issu : le gospel (musique d’église).

Le terme soul apparait pour la première fois dans les titres des premiers albums de Ray Charles: Soul en 1958 et Soul Meeting en 1961. Le développement de la musique soul a été stimulé par deux tendances principales : l'urbanisation du rhythm and blues et la sécularisation du gospel. C'est Ray Charles qui mélangea sa passion pour le gospel avec les rythmes saccadés du rhythm and blues pour donner naissance au soul. On retrouve donc dans le soul une partie de l’émotion sacrée mêlée à des thèmes profanes, souvent à forte connotation sexuelle. La soul puise ses racines dans le jazz, le gospel et le negro spiritual. La jeunesse noire l'a utilisée comme un mouvement contestataire pour réagir face à la communauté blanche.

À la fin des années 1950, la volonté de proposer au public blanc des artistes noirs originaux conduit plusieurs labels à rechercher des versions commercialisables de la musique noire. Les deux labels les plus influents sont alors Stax (près de Memphis)

Filiale de  
Fondé en 1957
Fondateur Jim Stewart &
Estelle Axton
Statut Fermé en 1975
Maison de disques  
Genre(s) Rhythm & Blues, Soul
Pays d'origine États-Unis États-Unis
Siège Memphis
Site Officiel http://www.soulsvilleusa.com/

et la Tamla Motown à Détroit.

Filiale de Universal Music Group
Fondé en 1959
Fondateur Berry Gordy
Statut  
Maison de disques  
Genre(s) Soul, Pop
Pays d'origine États-Unis États-Unis
Siège Détroit,
Los Angeles
Site Officiel http://www.motown.com/

 

AVERTISSEMENT INTERDICTION DE RECOPIER!!! CETTE VIDEO extraite du film "Standing In The Shadows"


On les oppose souvent et l’on parle alors de southern soul (Stax) plus proche des racines (soul rapide et incisif) et de "northern soul" (La naissance de la Northern Soul ), plus dansante et plus influencée par la pop. De même en termes de management, Motown (dont le slogan « la musique de la jeune Amérique » épouse les volontés d'émancipation de l'époque) est le premier label fondé et dirigé par un noir américain, le redoutable Berry Gordy. À l'inverse Stax est fondé par un blanc Jim Stewart, et nombre de ses plus fameux musiciens de séance sont blancs eux aussi (Steve Cropper, Donald "Duck" Dunn, Tom Dowd...).

La soul explose véritablement dans les années 1960. Alors que dans un style plus classique s'impose le son du studio Muscle Shoals de Dan Penn et Spooner Oldham (Aretha Franklin, Etta James, Wilson Pickett...), James Brown (« The Godfather of Soul ») et Curtis Mayfield introduisent des rythmes plus syncopés et donnent alors une nouvelle orientation à cette musique. C'est la création du funk, un style inséparable de la soul, qui atteindra son apogée dans les années 1970-1980 avec des groupes comme The JB's (les musiciens de James Brown), Sly and the Family Stone, Tower of Power, suivis par Bootsy Collins et George Clinton avec leurs formations déjantées (Parliament et Funkadelic : le P-Funk ! Un son beaucoup plus axé sur les basses et les "beats" : les prémisses du nu soul ?).

En 1966, les latinos de New York inventent la latin soul, également appelée boogaloo. Durant les années 1970, de très bons disques sont produits et deviendront des classiques du genre (notamment le fameux What’s going on de Marvin Gaye et Songs In The Key Of Life de Stevie Wonder), mais la soul décline dans la seconde partie de la décennie, les ventes de disque étant alors dominées par le disco.

À la fin des années 1970 et au début des années 1980, de nouveaux artistes renouvellent le genre, à l'image de Michael Jackson avec Off the Wall, Barry White ou Luther Vandross. Ils popularisent définitivement la soul.

Un peu plus tard, le rap en samplant allègrement les standards des années 1960 et 70 contribuera à une nouvelle popularité de la musique soul. Certains groupes iront plus loin et fusionneront soul et rap pour donner naissance au new jack swing, devenu R&B/Hip-Hop, puis enfin au nu soul dans la seconde partie des années 1990 (fusion d'instrumentations organiques mais typées hip-hop et de textes et vocalises toujours dans l'esprit soul). D'Angelo, De La Soul, Erykah Badu, Maxwell et Omar, seraient à l'origine de ce mouvement.



Voici un de mes clips préféré, pour sa mise en scène, la voix de Janet et le style (ici vous ressentez l'âme de la soul à son état pure)

Un autre d'un artiste d'une autre génération sur Label Okeh Billy Butler (très rare vinyl)


Aujourd'hui, il existe une forme plus moderne de soul : la soul pop (ou pop soul). Les artistes soul pop ne sont pour l'instant pas très nombreux et se limitent à Duffy, Amy Winehouse et Christina Aguilera. Cette dernière avait sorti un premier album dans un style teen pop et bubblegum pop, un second assez soul pop avec des influences rock, R'n'B et hip-hop, et un troisième (son dernier en date) totalement soul pop des années 40-50-60. Cependant, la chanteuse souhaite, pour son prochain album, s'éloigner de son style soul pop pour aller vers un style d'avantage Electro-pop
L’histoire secrète de la soul music

vendredi 21 décembre 2007 par soul R&B

De james brown à R. kelly, de curtis mayfield à d’angelo, d’aretha franklin à alicia keys, voici tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l’histoire de la soul…

« Soul music », musique de l’âme. Tout est dit… ou presque ! Parallèlement aux jazz, blues, gospel, funk et aujourd’hui rap, depuis une cinquantaine d’années, la soul a toujours été l’essence de la musique noire américaine, celle qui touche au plus profond, à la fois du cœur et du corps, celle qui peut aussi bien mettre le sourire aux lèvres que la larme à l’œil mais donne toujours le frisson. Musique profane ou éminemment spirituelle, tour à tour romantique, sensuelle – voire sexuelle – ou « socialement consciente », la soul est dans un premier temps créée par des noirs à destination des noirs. Mais rapidement les créateurs, chanteurs et musiciens de l’Amérique noire vont offrir cette belle et grande musique au reste du monde qui va l’accueillir comme elle le mérite. Il est hors de question dans cet article de quelques pages de présenter la soul dans toute sa richesse et sa variété, de la fin des années 50 à aujourd’hui, caractérisée qu’elle est par des milliers d’artistes au succès plus ou moins important et des dizaines de styles spécifiques et sous-courants. Sans parler de tous ceux qui sont à la frontière de la soul au sens strict mais qui n’en sont pas moins remarquablement soulfull (George Benson par exemple, pour n’en citer qu’un). Nous nous « contenterons » de quelques-uns des plus grands noms de ce genre musical, des personnages qui ont touché – et qui pour certains continuent de toucher – des millions de gens à travers le monde.

La soul music, telle qu’elle a été définie par la suite, apparaît au milieu des années 50 et provient d’une mutation appelée à l’époque le rhythm&blues (à ne pas confondre, même s’il y a des liens, avec le R&B d’aujourd’hui !). Lui-même avait pris forme au milieu des années 40 en tant que version urbaine et dansante du blues traditionnel, sous influence du jazz festif. Une dizaine d’années plus tard il donnait également naissance au rock’n’roll qui était en train de devenir en quelque sorte la version blanche du rhythm&blues. Mais la jeunesse noire de l’époque a besoin d’une musique bien à elle et elle va la trouver dans le nouveau style que sont en train de créer des gens comme Ray Charles et Sam Cooke, des artistes ayant chanté à l’église et qui vont adapter les techniques vocales du gospel à une musique non-religieuse. C’est le début d’une grande aventure, celle de la soul, une aventure qui est loin d’être terminée. Le grand James Brown fait partie des pionniers de la soul : il deviendra, grâce à sa créativité, son incroyable charisme et sa puissance de travail inouïe, une superstar mondiale et inventera à la fin des années 60 un nouveau son lui-même issu de la soul, le « funk », mais ceci est une autre histoire… Mais outre quelques artistes d’exception comme lui ou Curtis Mayfield (et son groupe les Impressions) qui évoluent en électrons libres, la soul des années 60 est d’abord celle de grands labels, chacun associé à une ville des Etats-Unis.

Chaque ville où réside une communauté noire importante voit ainsi se développer des labels qui produisent de la soul music (Chess et Vee-Jay à Chicago par exemple). Mais c’est plus particulièrement dans trois villes que vont s’écrire les pages les plus significatives de la soul des années 60. A Detroit, un génial entrepreneur du nom de Berry Gordy va créer au début des années 60 ce qui apparaît aujourd’hui comme le plus grand label soul de tous les temps, Motown. Grâce à son flair artistique et son génie du marketing, il va permettre à de nombreux chanteurs et groupes – Smokey Robinson, The Temptations, Martha Reeves & The Vandellas, Diana Ross & The Supremes, Marvin Gaye, The Four Tops, Stevie Wonder et, plus tard, à la fin de la décennie, les Jackson 5 – de développer durant la décennie 1960 le « son Motown » et de toucher le très grand-public, bien au-delà du seul public noir. Le son Motown, c’est une soul de haute qualité souvent enjouée (dans la musique en tout cas, pas forcément dans les paroles) et dansante, plus policée à certains égards que d’autres courants du genre et susceptible de se mélanger dans les soirées dansantes à d’autres styles de la musique populaire américaine de l’époque tels que le pop/rock et la variété.

Retrouvez la suite de cet article dans le numéro 1 de Soul R&B


Découverte!!!  Stefan Filey






Quelques artistes représentatifs
Barbara Acklin
Ruby Andrews
Roy Ayers
William Bell
Beckett Brown
James Brown
Solomon Burke
Jerry Butler
James Carr
Gene Chandler
Ray Charles
Sam Cooke
The Dramatics
Chris brown
The Emotions
Betty Everett
Roberta Flack
Eddie Floyd
Aretha Franklin 
Marvin Gaye
Al Green
Jesse Green
Anastacia
Donny Hathaway
Isaac Hayes

Gil Scott Heron
Hues Corporation
The Intruders
Millie Jackson
The Jackson Five
Etta James
Al Jarreau
Little Willie John
Lauren Johnson
Syl Johnson
Quincy Jones
KC And The Sunshine Band
Ben E. King
Otis Leavill
The Love Unlimited Orchestra
Curtis Mayfield
George McCrae
Gwen McCrae
Clyde McPhatter
The Miracles
Melba Moore
Aaron Neville
Sandra Nkake
The O'Jays
Oncle Ben
Billy Paul
Ann Peebles
Teddy Pendergrass
Wilson Pickett
Esther Phillips
The Pointer Sisters
Lloyd Price
Lou Rawls
Otis Redding
Minnie Riperton
Smokey Robinson
Diana Ross
Earl Van Dyke
The Salsoul Orchestra
Sam and Dave
Labi Siffre
Percy Sledge
Sly & The Family Stone
The Staple Singers
Edwin Starr
The Supremes
The Sweet Inspirations
Joe Tex
Irma Thomas
Ike & Tina Turner
Luther Vandross
Grover Washington Jr
Mary Wells
Barry White
Jackie Wilson
Bill Withers
Bobby Womack
Stevie Wonder
 

Thank's for the video by miguius 
Le Neo soul
Elsa Chapman
Raul Midón
Corinne Bailey Rae
Nicole Willis
Baby Charles
Sharon Jones
Erykah Badu
Lauryn Hill
Bilal
D'Angelo
Dwele
India.Arie
Alicia Keys
Justine Lynn
Gabrielle
John Legend
Maxwell
Musiq (Soulchild)
Omar
Raphael Saadiq
Jill Scott
Angie Stone

La Funk

Découvrez un grand de la funk musique des années 70' 80'
George Clinton " Funkadelic & Parliaments"

George Clinton, musicien et chanteur americain, né le 22 juillet 1941 à Kannapolis (Caroline du Nord), est avec James Brown et Sly Stone l'un des pères fondateurs de la musique funk. Il coordonnait les groupes Parliament et Funkadelic pendant les années 1970 et le début des années 1980, de même que quelques productions satellites, avant d'entamer une carrière en solo. Il est daltonien et père de 14 enfants.

George Clinton

Funkadelic et Parliament

Il grandit à Plainfield dans le New Jersey, où il travaille dans un salon de coiffure, avant de former le groupe de doo-wop The Parliaments qui signe quelques 45 tours, dont le populaire I wanna testify. En raison d'un problème contractuel, le groupe devient Parliament, un nom abandonné ensuite temporairement au profit de Funkadelic, qui publie douze albums de 1970 à 1981, après le recrutement notable du claviériste Bernie Worrell et du guitariste Eddie Hazel. Le registre est d'abord rock and roll, inspiré par Jimi Hendrix, avant d'évoluer au fur et à mesure des années vers une version psychédélique du funk qui leur est propre, le P-Funk, dont le disque et le single One Nation Under a Groove en 1978 constitue l'apogée commerciale. Les mêmes musiciens font renaître Parliament en 1972, un projet qui s'oriente deux ans plus tard lui aussi vers le funk et connait un grand succès avec Mothership Connection (1975), auquel participent le saxophoniste Maceo Parker et le tromboniste Fred Wesley, tous deux échappés de chez James Brown. Jusqu'en 1980, neuf disques studio de Parliament sortiront.


Autre formation de cette même époque " Lakeside"

Lakeside est un groupe de funk américain, principalment connu pour leur hit Fantastic Voyage.


En 1971, le groupe fait la connaissance de Eddie Thomas de Curtom, un label détenu et exploité par M. Thomas et de son partenaire, Curtis Mayfield. Eddie Thomas left Curtom to form his own label: "Lakeside", which he named after the south-side of Chicago. Eddie Thomas Curtom gauche pour former son propre label: "Au bord du lac», qu'il a nommé d'après le côté sud de Chicago. Lakeside, the label, signed Ohio Lakeside Express, the band, with the band ultimately dropping "Ohio" and "Express", in favor of, simply, "Lakeside." Au bord du lac, l'étiquette, signé Lakeside Ohio Express, le groupe, avec le groupe en fin de compte tomber "Ohio" et "Express", en faveur de, tout simplement, "Au bord du lac." Eddie Thomas had a number of producers expressing interest in producing an album for Lakeside, but nothing materialized at this stage in their career. Eddie Thomas avait un certain nombre de producteurs d'intérêt dans la production d'un album de Lakeside, mais rien de concrétisé à ce stade de leur carrière. That would soon change, however, and how it did is an interesting story. Cela va bientôt changer, cependant, et comment il l'a fait est une histoire intéressante.

In the spring of 1972 Lakeside left the Tri-State area, bound for Oklahoma to play a two-week engagement. Au printemps de 1972 Lakeside quitté la région des trois États, à destination de l'Oklahoma à jouer un engagement de deux semaines. All ten band members left in a rented U-haul, along with all the equipment they owned. Les dix membres de la bande de gauche dans la location de U-courriers, avec tout le matériel qu'ils possédaient. Unfortunately, the promoter of the show was not able to deliver the anticipated "gate" (attendance), disappointing everyone. Malheureusement, le promoteur de l'exposition n'a pas été en mesure de livrer le anticipé "gate" (assiduité), décevant de tous. Almost unbelievably, perhaps due, in part, to the sour mood associated with the disappointing turnout for the engagement, a dispute arose concerning a promotional 8" x 10" glossy. Presque incroyable, peut-être due, en partie, à l'aigre l'humeur associés à la déception pour le taux de participation, un différend a surgi au sujet d'un promotionnelles 8 "x 10" glossy.

As Mark Wood and the promoter's wife struggled with the glossy, each claiming ownership, Mr. Wood suddenly heard: "Let it Go!” turning to see the promoter, hand shaking, waving a pistol in his face. It shocked him. Tiemeyer McCain intervened, pulling Mark away, stating, "C'mon, man, let's go; it's just a picture." Comme Mark Wood et le promoteur de la femme a lutté avec le brillant, chacune revendiquant la propriété, M. Wood a soudainement entendu: "Let it Go!" Tournant pour voir le promoteur, agitant la main, brandissant un pistolet dans son visage. Il choqué lui. Tiemeyer McCain intervenus, tirant Mark loin, en déclarant, "C'mon, man, let's go, c'est juste une image."

This was a crossroads, of a sort. Cela a été un carrefour, d'une sorte. Thinking about what they had accomplished thus far with their career; the disappointment that they had just experienced with the engagement; the incident with the pistol; and the long drive back to the Tri-State area, it was Thomas Shelby (by then a vocalist with the group) who said: "Why don't we just go on all the way to California." La réflexion sur ce qu'ils ont accompli jusqu'à présent avec leur carrière, les déceptions qu'ils viennent avec l'expérience de l'engagement, l'incident avec le pistolet, et la longue route pour la région des trois États, il a été Shelby Thomas (puis par un chanteur avec le groupe), qui a dit: «Pourquoi ne pas aller sur tous les cours en Californie." Lakeside did just that, arriving in California in June of 1972. Lakeside fait juste que, en arrivant en Californie en Juin 1972.

Success in California was not immediate. Réussite en Californie n'a pas été immédiate. On many occasions, Lakeside scoured the streets, equipment in tow, looking for opportunities to play live. À de nombreuses reprises, Lakeside parcouru les rues, l'équipement en remorque, à la recherche d'occasions de jouer en direct. When a "gig" told them that they could play if they were ready by 1 am that same day, they often had to jump at the opportunity. Quand un «concert» leur a dit qu'ils pouvaient jouer si ils sont prêts de 1 h le même jour, ils ont souvent eu à sauter sur l'occasion. Lakeside was good, though, and through word-of-mouth, better opportunities began to present themselves. Au bord du lac a été bonne, même si, et par le bouche à oreille, ont de meilleures chances de se présenter. After about six months, they were playing the best venues, eg, "Whiskey a Go-Go", "Starwood Theatre", and "The Roxy." Après environ six mois, ils ont joué les meilleurs sites, par exemple, "Whiskey a Go-Go», «Starwood Théâtre", et "Le Roxy".

At "Mavericks Flat", another of the big-time venues of the day, the group was seen by Dick Griffey, a promoter handling successful artists like Stevie Wonder. A "Mavericks plat", un autre des grands sites en temps de la journée, le groupe a été vu par Dick Griffey, un promoteur de manutention de succès des artistes comme Stevie Wonder. Impressed by the group, he offered his friendship and advice, and began informally managing Lakeside in early 1974. Impressionné par le groupe, il a offert son amitié et de conseils, et a commencé à gérer Lakeside informelle au début de 1974. It was also in 1974 that Lakeside met Frank Wilson and signed a deal with Motown. Il a été également en 1974 que Frank Wilson Lakeside s'est réuni et a signé un accord avec Motown. Unfortunately, Motown was promoting/prioritizing other groups, and shelved what they had produced for Lakeside. Malheureusement, la Motown a été la promotion / la priorité d'autres groupes, et mise à l'écart de ce qu'ils avaient produit pour Lakeside. When Frank Wilson left Motown in 1976, for ABC Dunhill, Lakeside went with him. Quand Frank Wilson quitté Motown en 1976, pour ABC Dunhill, Lakeside allé avec lui.

It was in 1976, that Lakeside's success really started to accelerate, though. Il a été en 1976, que le succès de Lakeside véritablement commencé à s'accélérer, quoique. In that year, Lakeside had its first album, Lakeside Express (with the single, If I Didn't Have You) released. Au cours de cette année, Au bord du lac a eu son premier album, Lakeside Express (avec le single, If I Didn't Have You) libérés. It was also the time that the group debuted on Soul Train performing one of the songs produced by Melvin Ware on the writers Beloyd and Peter Cor, "Shine On" , and paving the way for what was to come. Il a été aussi le moment que le groupe fait ses débuts sur Soul Train effectuant l'une des chansons produites par Melvin Ware sur les écrivains et Beloyd Peter Cor, "Shine On", et ouvre la voie pour ce qui est à venir.

What was to come involved Dick Griffey, the producer that had befriended Lakeside back in 1974. Quelle a été impliqué à venir Dick Griffey, le producteur qui s'était lié d'amitié avec Lakeside en 1974. In 1978, Mr. Griffey stared Solar Records. En 1978, M. Griffey regardé Solar Records. It was also in that year that he reconnected with Lakeside, inviting them to join his new record company. Il a également été au cours de cette année qu'il a reconnecté avec Lakeside, les invitant à rejoindre sa nouvelle compagnie de disque. Parting amicably with Frank Wilson, Lakeside became a part of the Solar family. Parting amiable avec Frank Wilson, Lakeside est devenu une partie de la famille solaire. Soon, they released another album Shot of Love , which contained the single "It's All the Way Live," a number four on the R&B chart . Bientôt, ils sortent un autre album Shot of Love, qui contenait le single "It's All the Way Live", un numéro quatre sur le R & B chart.

Despite the success of Shot of Love and "It's All the Way Live," the next album, Rough Riders , didn't fare as well. Malgré le succès du Plan d'Amour et de "It's All the Way Live", le prochain album, Rough Riders, n'ont pas eu également. However, the very next one, Fantastic Voyage , exceeded all expectations. Toutefois, la très prochaine, Fantastic Voyage, a dépassé toutes les attentes. Its eponymous single, " Fantastic Voyage " went to reach number one on the charts. Son single éponyme, «Fantastic Voyage» est de parvenir à un certain nombre sur les cartes. Subsequent to that album, Lakeside released eight more successful ones. À la suite de cet album, Lakeside libéré huit réussite.

Curtis Mayfield, né le (3 juin 1942 à Chicago et mort le 26 décembre 1999, est un chanteur, auteur et compositeur de soul, de funk, de R&B, principalement connu pour la bande originale du film de blaxploitation Superfly.

Il fait tout d'abord partie du groupe The Impressions puis il se lance avec succès dans une carrière solo. Il devient probablement le premier de la nouvelle vague de chanteurs afro-américains à introduire des commentaires à caractère social dans ses chansons. Cette musique engagée devient très populaire pendant cette période de difficultés sociales des années 60 et 70.

La carrière de Mayfield débute en 1956 quand il forme The Roosters avec Jerry Butler, Sam Gooden, Richard Brooks et son frère Arthur Brooks. En 1958, le groupe change de nom et devient The Impressions, c'est à partir de là que le succès arrive. Les deux principaux hits du groupe sont For Your Precious Love et Gypsy Woman. Après le départ de Butler du groupe et l'arrivé de Fred Cash, Curtis devient le chanteur principal et compose fréquemment pour le groupe. Leur titre de gospel Amen est inclus dans la bande originale du film Lilies of the Fields (1963) avec Sidney Poitier. The Impressions acquirènt alors une grande popularité grâce aux compositions de Curtis comme Keep On Pushin', People Get Ready, Choice of Colors ou encore This is My Country. Le titre We're a Winner devient l'hymne du Black Power et Keep On Pushing celui du Mouvement des droits civiques aux États-Unis. Mayfield devient alors un des pionniers de la fierté noire aux côté de James Brown ou de Sly Stone. En 1970, Curtis Mayfield quitte le groupe et débute sa carrière solo sous le label indépendant Curtom Records (label ayant regroupé beaucoup d'artistes soul).

L'apogée de sa carrière est atteint en 1972, avec l'album Superfly, bande originale du film du même nom. Les paroles de cet album sont très engagées et évoquent la politique du gouvernement envers la communauté noire, l'état des ghettos, des paroles jamais entendues jusqu'alors dans un film de blaxploitation dont les bandes originales (comme celle de Shaft par Isaac Hayes) avaient plutôt pour habitude de glorifier les héros avec tout leurs excès. Bob Donat du magazine Rolling Stone dira d'ailleurs "le message anti-drogue de Mayfield est bien plus fort en réalité que le film lui-même". Avec l'album "What's going On" de Marvin Gaye et l'album "Innervisions" de Stevie Wonder, Superfly devient l'étendard d'une nouvelle conscience sociale et celui du nouveau style funky.



Mayfield est très actif durant les années 70 et 80, suivi par un public fidèle, mais tout s'arrête brusquement le 14 Aout 1990 lorsque, pendant un concert à Brooklyn, un projecteur lui tombe dessus et le rend paralysé. À partir de ce moment, il ne pourra plus jouer de guitare, mais il continuera à écrire et à chanter. En 1998 il doit être amputé d'une jambe pour cause du diabète, et son état s'aggravant, il décède le 26 décembre 1999 à Roswell en Géorgie.

 


REX GARVIN

Pittsburgh, 1955.
Pianiste de formation, arrangeur et compositeur précoce, Rex Garvin, dès ses 15 ans, crée dans les mid50’s The Hearts un girls group qui verra entre autres les débuts de Justine Baby Washington, une chanteuse black légendaire du Bronx. Elles sortent un 45tours sur Baton (Going home to stay/ Disappointed Bride). Rapidement, sous ce nom de The Hearts ou tout simplement sous le nom de Rex Garvin & his Orchestra, il conduit le duo Johnnie & Joe jusqu’au début des sixties. Johnnie Richardson, teenager elle aussi et fille de la productrice de R&B Zell Sanders, collaborait déjà avec Rex Garvin pour the Hearts, et quand le pianiste prend sous sa coupe Joe Rivers, un excellent chanteur de Caroline du Sud, Zell Sanders propose d’intégrer sa fille Johnnie au projet. Heureuse idée puisque le duo sortira de l’anonymat grâce à quelques magnifiques rondelles de cire gravées sur le label J&S, le label indépendant de cette même Zell Sanders. Le duo sort un premier single “I’ll be spinning/ Feel allright”. Ca marche tout de suite sur les radios new yorkaises, et le label de Chicago, le légendaire Chess signe J&S en distribution nationale. “I’ll be spinning” est une excellente ballade rythmée et sera même repris par les Cadets sur la côte Ouest, harmonies subtiles, mélodie terrible, pont parfait... du grand doo wop.

Second quarante cinq tours et même réussite avec encore une ballade “It was there”, couplé à “There goes my heart”. Mais c’est en 1957 que le duo explose vraîment sur tout le territoire R&B américain en atteignant la 3e place dans les charts R&B et la 8e dans les charts pop (elle y reste même durant quatre mois), avec une compo de Rex Garvin “Over the mountain accross the sea” sorti originellement sur J&S puis réédité lui aussi par Chess. Intro dramatique, du rhythm’n’blues de grande tenue et des parties vocales géniales (Rex Garvin assure de belle manière une troisième voix!) D’autres bons morceaux suivent jusqu’en 1960, “Warm Soft & Lonely”, “I was so lonely”, “Why did she go” pour Chess, et “I adore you” pour ABC-Paramount, aussi un très bon “Why Oh why” en 59 sur J&S, mais ils ne renoueront malgré ça avec le succès qu’en 1960 avec une réédition de “Over the mountain”. Puis le groupe s’étiole petit à petit jusqu’à disparaître sans laisser beaucoup de trace dans les mémoires (les compilations ne leur ont fait guère honneur à ma connaissance), sauf peut-être celle d’un groupe à une seule chanson “Over the mountain”. Un de plus... Johnnie & Joe continueront quand même dans les circuits rétro 50’s jusque dans les 80’s mais sans Rex Garvin. Lui continuera l’aventure The Hearts jusqu’en 63, date où ils sortent sur Tuff un mini hit “Dear Abby” une copie de “Sally go ‘round the roses” de Spector (Baby Washington, Johnnie Richardson et the Hearts avaient d’ailleurs failli etre choisis par Spector à la place des Jaynetts pour créer cette merveille qu’est “Sally..”
Mais surtout,dès 63, il prend un virage à 360° et se met au chant pour produire sous son propre nom du black rock’n’roll et du rhythm’n’blues sauvage. Pas beaucoup de traces vinyliques mais deux titres terribles “Oh yeah” et “I told you before” qu’on peut retrouver sur la compil “Wild Original Rock’n’roll” sur White Label. Puis la soul prend le dessus en 65 et il se met à l’orgue. Il forme the Mighty Cravers, aussi connus sous le nom de The Cravers. L’orgue a désormais pris la place du piano, un orgue sauvage, et le rhythm’n’blues vocal des 50’s a fait place à un mélange soul/R&B funky, original et dansante, tantôt instrumental, tantôt vocal. Rex Garvin s’est mis au chant, et s’est révélé être un vrai screamer à la voix chaude, puissante et éraillée. Cette fois, les traces sont là, gravées à jamais sur quelques unes des meilleures compils du genre sorties depuis les années 80 “At the Party”, “Lookey-Dookey”, “Whip it on ‘em” et dernièrement “Steppin’ Hot”. Et il ne se passe pas une soirée 60’s sans entendre au moins “Emulsified” et même “I gotta go now”, veritables killers des pistes de danse au même titre que les chansons de King Coleman ! Un premier 45tours, un killer, “Emulsified” couplé à “Go Little Willie”, sort en 1963 sur Okeh, le label de Larry Williams et de Curtis Mayfield, mais la collaboration s’arrete là, faute de succès. Okeh ne rendra d’ailleurs jamais hommage à ce monument qu’est Emulsified, inconscient d’avoir là un chef d’oeuvre, et que ce soit dans leurs compilations, dans les papiers écrits sur le label ou sur les sites qui lui sont consacrés, pas une trace de Rex Garvin. Heureusement, les pirates du vinyl l’ont eux repéré depuis longtemps et mettront à l’honneur “Emulsified” (At the Party, Hipster vol3). Fin de l’épisode Okeh, Rex Garvin continue ailleurs, intégrant de plus en plus de ce nouveau son funky. Like records le prend sous son aile, suivi très vite pour la distribution par Atlantic. Pour eux, il sortira en 66 et 67 deux de ses meilleurs titres “Sock it to ‘em J.B” un hommage sauvage à James Brown, “et “I gotta go now” une petite merveille de soul funky vocal, dansante et énergique (en fait la face B au splendide “Believe it or not”) : deux titres réédités régulièrement par Atlantic sur des compils (Formidable R&B vol2 ou That’s Soul vol5...)

Il passe en 1968 sur Tower rds et sortira enfin son premier album “Raw Funky Earth”, quasi introuvable (ou à des prix délirants, à quand une réédition CD ou un bootleg ?) comprenant “raw funky, screaming for your love,boogaloo down broadway, the other man,don't fight it + 5 autres titres. Un ou deux singles suivront sur d’autres labels, plus latino, sur WSJ sound ‘You don’t need no help”) et Keynote mais on perd alors sa trace, le virage des 70’s lui sera fatal. Hormis ces quelques titres recompilés, on entendra un peu parler de lui par le biais de rares reprises, comme celle de “Sock it to ‘em JB” par les Specials, d’”Emulsified” par Yo La Tendo et un single complet par The Blacks (I gotta go/ Sock it...)

The Cravers (ou Cravens) featuring Rex Garvin
Saber 101 Look up & laugh/ Searchin
wsj sound 1969 you don't need no help/ Choo Choo Special





COMPILATIONS

LP Wild Original Rock’n’Roll “Oh Yeah/ I told you before”
CD Pittsburgh favorites oldies At The Hop V “Emulsified/ Go Little Willie”
CD Soul Cargo “Believe it or not”


2CD Nothern Soul Fever vol2 “You don’t need no help”
LP Hipsters vol3 “Emulsified”
CD Trippin’ on Nothern Soul “Queen of the Go-Go”
LP At The Party “Emulsified”
LP Lookey - Dookey “Oh Yeah”
LP Show me what you got “I gotta go now”
LP Steppin’ Hot” “Strange Happenings”
LP Formidable Rhythm’n’blues vol2 “I gotta go now”
CD Monsters Sounds & Boppin’ Trax “Strange Happenings”
LP Whip it on’em “Sock it to’em JB”
CD That’s Soul vol5 “Sock it to’em JB”
BOX 6CD Beg, Scream & Shout “Sock it to’em JB”
BOX 4CD The In-Crowd 1958-67 “Sock it to’em JB”
LP SuperExtraMaxiPartyUSA “Sock it to’em JB”
CD Girl with a job (better of dead) “Sock it to’em JB”
by Benny Gordini


HELEN TROY

 


 

 

Publié dans Soul

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J
<br /> Bonjour! Vous parlez de new jack swing dans votre historique, j'en profite pour vous donner une information intéressante, y'a un ancien du nom de Eddy Les Bons Tuyaux qui vient de sortir une<br /> compilation réunissant le meilleur du rap et du new jack swing, la compil s'appelle Drive Thru et c'est une tuerie quant au mix et aux sélections, perso j'ai acheté un exemplaire et je ne regrette<br /> pas, merci de donnez votre avis ou de chroniquer le projet qui, à mon sens, le mérite amplement.<br /> Le site du gars c'est le http://lesrenseignementsgeniaux.blogspot.com/<br /> <br /> <br />
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B
<br /> Merci, j'ai rendu une viste et cela m'a surpris<br /> merci pour le tuyau<br /> <br /> <br />
S
bonjour le journaliste lol dit moi tu fais un travail colossal je suis admiratif de tes recherches , ça toi effectivement te prendre un temps fou mais comme tu le suggères quand on aime on ne compte pas .<br /> en tout cas moi même je prends à chaque fois un réel plaisir à m'abandonner sur ton site qui devient une référence pour moi .<br /> au plaisir d'un prochaine page instructive et pleine de richesse musical je n'en doute pas
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B
<br /> Serge, je te remercie pour le commentaire.<br /> Effectivement je vais suivre avec un article qui plaira à plusieurs d'abonnés.<br /> je n'en dit pas plus, car j'attend encore certaines infos.<br /> Salutations<br /> Jean<br /> <br /> <br />
D
Salut Jean <br /> encore un bel article plein de richesse sur la Soul Music<br /> <br /> bravo<br /> continu nous cela<br /> bernard
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B
<br />  merci Bernard, j'ai tellement de styles et artistes à faire découvrir, voir même des oubliés que les radios<br /> classics ne diffusent plus.<br /> Je m'efforce de prendre du temps pour le choix de articles et du thème à proposer, et crois moi, c'est un réel plaisir..............<br /> <br /> <br />